CINEMA : The Dark Tower (La Tour Sombre) de Nikolaj Arcel

The Dark Tower (La Tour Sombre) de Nikolaj Arcel est la première adaptation de cet été d’un roman de Stephen King. La seconde – plus attendue que celle-ci, se nomme It (Ça) et sortira fin août sur grand écran.
Sachez qu’il s’agit en fait d’une adaptation des 8 romans La Tour sombre écrits par Stephen King et inspirés par un poème de Robert Browning, Le chevalier Roland s’en vint à la Tour noire.
Deux autres adaptations des romans de Stephan King sont, également, prévues cette année avec The Mist de Christian Torpe (à voir sur Netflix) et la série Mr. Mercedes de David E. Kelley.

De quoi parle The Dark Tower (La Tour Sombre) ?
Jake Chambers (Tom Taylor) est un ado un peu frapadingue parce qu’il rêve d’une tour sombre, lieu servant de point de connexion entre tous les univers. Dans ses rêves, il découvre Randall Flag appelé aussi l’Homme en noir (Matthew McConaughey) qui a pour objectif de faire effondrer la tour grâce à la puissance de l’esprit d’un enfant, et le pistolero Roland de Gilead (Idris Elba) qui, lui, a pour objectif de déjouer les sombres plans de l’homme en noir. Jake Chambers parle de ses visions à ses parents et ses amis qui ne le croit pas et, au contraire, décide de l’enfermer dans un internat – hôpital.

Le film se laisse regarder et est distrayant. Les ficelles sont parfois trop grosses pour être digérées mais La Tour Sombre se défend dans la catégorie commerciale des films de science-fiction.

Petite anecdote : A un moment donné, le héros de La Tour Noir se bat avec un camarade de classe. C’est assez furtif dans le film. Le type avec qui il se bat est Nicholas Hamilton (acteur australien de 17 ans vu aussi dans l’excellent Captain Fantastic) que vous retrouvez dans Ça, dans le même rôle (le caïd de la classe) mais en beaucoup plus violent, et avec un rôle bien plus important.

Affiche « The Dark Tower » (La Tour Sombre) de Nikolaj Arcel

Sortie cinéma : 9 août 2017 (France) – 16 août 2017 (Belgique)
avec Idris Elba, Matthew McConaughey, Katheryn Winnick


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *