Ma première rencontre avec le réalisateur belge Valery Rosier se déroula sur une plage au 64ème Festival du Film à Cannes. Il présentait son premier court métrage, Dimanches, pour lequel il reçu le prix « Découverte Kodak ». C’était en 2011. Depuis lors, c’est Silence Radio ! Enfin, je veux dire… Il y eut Silence Radio, un moyen métrage de 52 minutes dans lequel Valery s’attache aux petites gens qui ont fait le quotidien savoureux d’une émission comme Strip-Tease mais, ici, le réalisateur belge donne une image plutôt romantique et attachante aux personnages qu’il filme.
D’étape en étape, et aidé par son ami Matthieu Donck (que l’on retrouvera très prochainement aux commandes de la série de la RTBF, La Trêve), il nous propose son premier long métrage intitulé Parasol. Il est parti sous le soleil de Majorque pour nous présenté le quotidien d’Annie, Alfie et Pere. C’est à nouveau très drôle, très tendre, très absurde aussi.

Les vacances, une île en Méditerranée. Trois errances, la fin de l’été, Déterminées, coute que coute, A ne plus le rester. La nostalgie d’un passé, Qui n’a jamais existé.

Je ne peux que vous inviter à vous ruer en salles pour voir ce film unique… et je ne suis pas le seul à vous le recommander. Voici un extrait de la critique du très sérieux ungrandmoment.be :

Avec tendresse, mélancolie et une pointe de sarcasme, Valery Rosier croise les destinées de trois personnages et d’autant de solitudes. Développant une méthode initiée avec son court-métrage DIMANCHE et son documentaire SILENCE RADIO, le réalisateur belge signe un premier long-métrage de fiction à la singularité éblouissante.

Mais avant la sortie du film, je voulais vous présenter un délire que nous avons commis lors de la soirée des Machins. Vous savez la cérémonie des petits prix du cinéma qui s’est déroulée ce vendredi 5 février 2016 à Bozar !?

Au départ, nous aurions du faire cette interview sérieusement dans une wasserette (salon lavoir) – j’avais envie d’un décor « palmier » – mais l’agenda de Valery en a décidé autrement. Nous nous sommes retrouvés aux Machins, nous avons cherché un endroit calme : les toilettes hommes furent notre décor.
Attention : belgitude en vidéo. Interview journalistique unique en son genre !


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